En attendant une prochaine publication plus conséquente, voici la très courte introduction orchestrale de la revue intitulée Les Refrains des Bouffes. Et comme le titre l'indique, Offenbach a réuni dans sa partition les "tubes" qui ont fait les beaux soirs du théâtre des Bouffes-Parisiens. A tout seigneur tout honneur, on commence par le boléro des Deux aveugles, suivi du menuet d'Orphée aux enfers. Quant aux sonneries du départ pour la Palestine (!!!) elles introduisent le fameux choeur de Geneviève de Brabant "Le clairon qui sonne" . En attendant qu'un directeur ait l'idée de remonter cette petite revue tout à fait charmante où défilent les plus fameux airs d'Offenbach.
Rappelons que ces enregistrements "assistés par ordinateur" sont réalisés dans le seul but de rassembler une base documentaire et ne cherchent nullement à rivaliser avec une quelconque interprétation musicale. Dans l'attente que de vrais musiciens s'y intéressent et programment ces œuvres dans leurs concerts. Même si grâce à l'intelligence artificielle les logiciels de MAO ont fait de gros progrès ces dernières années, on est encore loin de la qualité attendue d'un orchestre réel (à condition qu'il soit bon, évidemment, car avec la MAO on jouit au moins d'une justesse certaine). Pour en profiter au mieux, il est important d'utiliser un bon casque ou de bonnes enceintes, et surtout de bannir les mini hauts-parleurs des tablettes, smartphones et ordinateurs portables. La différence du rendu étant énorme.
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