Que de beauté dans cette partition et particulièrement dans cette ouverture du Pont des soupirs. Cette version enregistrée en 1980, l'année du centenaire de la mort d'Offenbach, est une des plus belles du point de vue sonore. Prise de son aérée et rutilante. Le Nouvel Orchestre Philharmonique et les choeurs de Radio France y scintillent. Et puis, il y a tant de mystère vénitien dans la musique d'Offenbach.
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